Albin Michel
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Stupeur et tremblements
Amélie Nothomb
- Albin michel
- Littérature française
- 14 Janvier 2009
- 9782226197528
Monsieur Haneda était le supérieur de monsieur Omochi, qui était le supérieur de monsieur Saito, qui était le supérieur de mademoiselle Mori, qui était ma supérieure. Et moi, je n'étais la supérieure de personne. On pourrait dire les choses autrement. J'étais aux ordres de mademoiselle Mori, qui était aux ordres de monsieur Saito, et ainsi de suite, avec cette précision que les ordres pouvaient, en aval, sauter les échelons hiérarchiques. Donc, dans la compagnie Yumimoto, j'étais aux ordres de tout le monde.
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« Mon ami Serge a acheté un tableau. C'est une toile d'environ un mètre soixante sur un mètre vingt, peinte en blanc. Le fond est blanc et si on cligne des yeux, on peut apercevoir de fins liserés blancs transversaux. Mon ami Serge est un ami depuis longtemps. »
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Oscar et la dame rose
Eric-Emmanuel Schmitt
- Albin michel
- Littérature française
- 14 Janvier 2009
- 9782226197368
Voici les lettres adressées à Dieu par un enfant de dix ans. Elles ont été retrouvées par Mamie Rose, la « dame rose » qui vient lui rendre visite à l'hôpital pour enfants. Elles décrivent douze jours de la vie d'Oscar, douze jours cocasses et poétiques, douze jours pleins de personnages drôles et émouvants. Ces douze jours seront peut-être les douze derniers. Mais, grâce à Mamie Rose qui noue avec Oscar un très fort lien d'amour, ces douze jours deviendront légende.
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Cinq méditations sur la beauté
François Cheng
- Albin michel
- Littérature française
- 15 Avril 2009
- 9782226199478
« En ces temps de misères omniprésentes, de violences aveugles, de catastrophes naturelles ou écologiques, parler de la beauté pourrait paraître incongru, inconvenant, voire provocateur. Presque un scandale. Mais à cause de cela même, on voit qu'à l'opposé du mal, la beauté se situe bien à l'autre bout d'une réalité à laquelle nous avons à faire face. Nous sommes donc convaincus qu'au contraire nous avons pour tâche urgente, et permanente, de dévisager ces deux mystères qui constituent les deux extrémités de l'univers vivant : d'un côté, le mal, et de l'autre, la beauté ... Ce qui est en jeu, nous n'en doutons pas, n'est rien moins que l'avenir de la destinée humaine, une destinée qui implique les données fondamentales de la liberté humaine. »Confronté très jeune à ces deux « mystères » par la fréquentation de l'époustouflant site du mont Lu dans sa province natale d'une part, et par le terrible massacre de Nankin perpétré par l'armée japonaise de l'autre, François Cheng livre ses réflexions sur les questions existentielles les plus radicales. Ce faisant, il nous fait revisiter les moments phares de la culture d'Orient et d'Occident.
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Prétextat Tach, prix Nobel de littérature, n'a plus que deux mois à vivre. Des journalistes du monde entier sollicitent des interviews de l'écrivain que sa misanthropie tient reclus depuis des années. Quatre seulement vont le rencontrer, dont il se jouera selon une dialectique où la mauvaise foi et la logique se télescopent. La cinquième lui tiendra tête, il se prendra au jeu. Si ce roman est presque entièrement dialogué, c'est qu'aucune forme ne s'apparente autant à la torture. Les échanges, de simples interviews, virent peu à peu à l'interrogatoire, à un duel sans merci où se dessine alors un homme différent, en proie aux secrets les plus sombres. Premier roman d'une extraordinaire intensité, où Amélie Nothomb, 25 ans, manie la cruauté, le cynisme et l'ambiguïté avec un talent accompli.
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Elles sont un milliard de milliards.Nous les remarquons à peine, elles nous guettent pourtant depuis longtemps. Pour certaines, nous sommes des Dieux. Pour les autres, des êtres malfaisants. Avec une intelligence et une organisation prodigieuses qui n'ont rien à envier aux armées les plus redoutables, elles se préparent à une lutte sans merci. Qui seront les vrais maîtres de la terre ? De la réponse à cette question leur survie dépend... La nôtre aussi.Le jour des fourmis est-il vraiment arrivé ?Après le succès phénoménal de son précédent roman, Les Fourmis, best-seller international, traduit en douze langues, primé par de nombreux jurys, mis au programme de certaines classes de biologie, Bernard Werber, romancier et journaliste scientifique, poursuit sa grande saga des « intra-terrestres ». II nous entraîne plus loin encore dans un univers hallucinant et terrible, où grouillent des insectes aux comportements pervers, féroces, fascinants.Plus qu'un thriller, Le jour des fourmis devient une formidable et troublante odyssée moderne, mêlant la fiction et l'imaginaire à la science la plus avancée de l'infiniment petit.
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« Stupeur et tremblements pourrait donner l'impression qu'au Japon, à l'âge adulte, j'ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d'Ève ni d'Adam révélera qu'à la même époque et dans le même lieu, j'ai aussi été la fiancée d'un Tokyoïte très singulier. »
Amélie Nothomb.
« Il est comment, le nouveau Nothomb ? Très bon ! Moins railleuse, plus lumineuse, elle nous mène au sommet du mont-Fuji avec une sensibilité nouvelle. » Elle. « Peut-être le plus beau de ses romans. Parce qu'Amélie Nothomb renoue avec la veine de Stupeur et tremblements, la plus personnelle, la plus juste. Parce qu'en la lisant, on rit, on pleure, on n'a qu'une envie : partir découvrir le Japon. » Tatiana de Rosnay, Psychologies. « Comme d'habitude, vous allez vous ruer sur le nouveau roman d'Amélie Nothomb. Vous aurez raison. Tout en subtilités, exquises drôleries et cruautés culturelles. » Bernard Pivot, Le Journal du Dimanche. « Dans la droite ligne de Stupeur et tremblements. Décidément, le Japon réussit drôlement bien à Amélie ! » Stéphanie Janicot, Muze. « Je l'ai lu avec un immense plaisir. » Michel Polac, Charlie Hebdo. « Décidément très réussi. » Delphine Peras, Lire. « Amélie Nothomb retrouve la grâce de ses premiers livres. Le roman sans doute le plus intime de cette écrivain définitivement atypique. » Christine Rousseau, Le Monde. « Un roman qui devrait ravir ses fidèles et nombreux lecteurs. Et asseoir un peu plus le singulier destin de son auteur. » Geneviève Simon, La Libre Belgique. « La légèreté est un don. Amélie l'a... Le lecteur s'amuse comme devant une photographie dont elle écrirait brillamment la légende : la sienne. » Brigitte Hernandez, Le Point. « Décidément, le Japon réussit admirablement à Nothomb. » David Fontaine, Le Canard enchaîné. -
« Sans le vouloir, j'avais commis le crime parfait : personne ne m'avait vu venir, à part la victime. La preuve, c'est que je suis toujours en liberté. C'est dans le hall d'un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite. Le coupable désigné d'avance. Il lui a suffi de parler. Et d'attendre que le piège se referme. C'est dans le hall d'un aéroport que tout s'est terminé. De toutes façons, le hasard n'existe pas. »
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Autre-Monde Tome 4 : Entropia
Maxime Chattam
- Albin michel
- Littérature française
- 3 Novembre 2011
- 9782226261359
Une muraille opaque de brouillard et ses cohortes de monstres avancent inexorablement vers Eden.
La Grande Tempête qui a balayé l'Amérique reviendrait-elle détruire la nouvelle civilisation que les Pans, les enfants mystérieusement épargnés par le cataclysme, tentent de créer ?
Sauront-ils déjouer les complots du Buveur d'innocence ?
L'Alliance des Trois pourra-t-elle s'opposer à la menace d'Entropia, royaume du chaos et de la mort ?
Autre-Monde est loin d'avoir livré tous ses secrets... -
« J'avais seize ans. Je ne possédais rien, ni biens matériels, ni confort spirituel. Je n'avais pas d'ami, pas d'amour, je n'avais rien vécu. Je n'avais pas d'idée, je n'étais pas sûre d'avoir une âme. Mon corps, c'était tout ce que j'avais. »
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Quelque part, loin, très loin, se trouve une île que ses habitants appellent Aeden. Là, perchée sur un haut plateau, une ville : Olympie. Dans son coeur, une étrange institution, l'école des Dieux, et ses professeurs : les douze dieux de la mythologie grecque, chargés d'enseigner l'art de gérer les foules d'humains pour leur donner l'envie de survivre, de bâtir des cités, de faire la guerre, d'inventer des religions ou d'élever le niveau de leur conscience. La nouvelle promotion ? Cent quarante-quatre élèves dieux qui vont devoir s'affronter à travers leurs peuples, leurs prophètes, chacun avec son style de divinité. Mais la vie sur Aeden n'est pas le paradis. Un élève essaie de tuer ses congénères, un autre est tombé fou amoureux du plus séduisant des professeurs, Aphrodite, déesse de l'amour, et tous se demandent quelle est cette lumière là-haut sur la montagne qui semble les surveiller... Après Les Thanatonautes et L'Empire des anges, Bernard Werber nous entraîne encore plus loin dans la découverte des spiritualités et des mythologies. à la fin de cette extraordinaire saga où se mêlent aventure, suspense et humour, vous vous poserez, vous aussi, la question : « Et moi, si j'étais Dieu, je ferais quoi ? »
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Une île. Un vieil homme et une jeune fille y vivent à l'abri de tout reflet. Une infirmière survient pour soigner la jeune fille. Tandis que des relations de plus en plus confiantes se nouent entre elles, l'infirmière découvre les éléments d'un mystère et d'un drame qui tiennent à l'étrange loi que le vieil homme fait régner sur l'île. Depuis Hygiène de l'assassin, Amélie Nothomb a imposé son style : regard incisif, parfois impitoyable et cruel, d'un romantisme noir et dépouillé, pour atteindre au plus secret de l'être. Avec Mercure, elle joue une fois encore avec brio sur l'éventail des passions fatales, de l'imposture et de l'absolu amoureux, du délicat passage entre illusion et vérité.
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Epiphane Otos serait-il condamné, par sa laideur, à vivre exclu de la société des hommes et interdit d'amour ? Tour à tour martyr et tortionnaire de ses contemporains, il sera ambassadeur de la monstruosité internationale, juré d'un concours de beauté au Japon, mais aussi et surtout, amoureux. Car que peut une âme sensible enfermée dans un corps disgracié, sinon vénérer l'absolu sous les traits d'une femme ? Amélie Nothomb, à travers ces confessions, décline avec ce mélange d'humour, de tendresse et de cruauté qui, d'Hygiène de l'assassin aux Catilinaires et à Peplum, ont imposé son talent corrosif, une histoire d'amour aussi infernale qu'impossible.
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Au début des années 1900, la France est en proie à d'étranges phénomènes. A Paris, les momies disparaissent des musées, les médiums succombent à des morts mystérieuses, et les rumeurs les plus folles courent les cercles occultes. À quelques kilomètres de là, dans les campagnes, une chose sans nom décime des familles entières selon des rites d'une infinie barbarie.Hanté par ses propres démons, fasciné par le Mal, le romancier Guy de Timée se lance à la poursuite de la créature.Après Léviatemps, le nouveau thriller de Maxime Chattam nous entraine des brumes du Vexin à celles d'un Paris ésotérique dans un terrifiant voyage dans le temps et le doute.
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« Allez savoir ce qui se passe dans la tête d'un joueur. »
« Ce roman ferait un très bon scénario. Moins bizarre mais plus prenante, Amélie ne fait pas du Nothomb, mais juste un bon roman. » Elle
« Amélie Nothomb sait ménager les rebondissements, façonner le suspense, jouer sur les mots et les situations. Elle excelle même dans ce registre. Le résultat est un petit livre cruel et dur, non dénoué de cet humour purement nothombien Attention, ça crépite ! » L Express
« On adore. Elle réussit un joli tour de magie et nous envoûte. » Madame Figaro -
La Ligne noire
Jean-Christophe Grangé
- Albin michel
- Littérature française
- 14 Janvier 2009
- 9782226197573
Il existe, quelque part en Asie du Sud-Est, entre le tropique du Cancer et la ligne de l'Équateur, une autre ligne. Une ligne noire jalonnée de corps et d'effroi...
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Robert des noms propres
Amélie Nothomb
- Albin michel
- Littérature française
- 16 Juin 2011
- 9782226260093
« Pour un écrivain, il n'est pas de plus grande tentation que d'écrire la biographie de son assassin. Robert des noms propres : un titre de dictionnaire pour évoquer tous les noms qu'aura dits ma meurtrière avant de prononcer ma sentence. C'est la vie de celle qui me donne la mort. »Le destin exceptionnel d'une petite fille prénommée Plectrude née sous les auspices les plus dramatiques et au parcours semé d'obstacles. Enfant atypique et solitaire, surdouée et incomprise, Plectrude traverse les épreuves avec la grâce d'une princesse de conte de fées et l'obstination, la certitude et la douleur d'une adolescente d'aujourd'hui.
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La rêveuse d'Ostende
Eric-Emmanuel Schmitt
- Albin michel
- Littérature française
- 14 Janvier 2009
- 9782226197283
Pour guérir d'une rupture sentimentale, un homme se réfugie à Ostende, ville endormie face à la mer du Nord. Sa logeuse, la solitaire Anna Van A., va le surprendre en lui racontant l'étrange histoire de sa vie, où se conjuguent l'amour le plus passionné et un érotisme baroque. Superbe mystificatrice ou femme unique ?Cinq histoires où Éric-Emmanuel Schmitt montre le pouvoir de l'imagination dans nos existences. Cinq histoires La Rêveuse d'Ostende, Crime parfait, La Guérison, Les Mauvaises Lectures, La Femme au bouquet suggérant que le rêve est la véritable trame qui constitue l'étoffe de nos jours.« La plume directe et souple de l'écrivain permet aux amoureux d'amour de se délecter des petites histoires banales et grandioses à la fois. »Matin Plus.« Cinq histoires surprenantes, tenues par un sens de la narration digne des meilleurs nouvellistes anglo-saxons. [] Encore une fois, Éric-Emmanuel Schmitt réussit à piéger le lecteur en beauté. »Delphine Peras, L'Express.« Bonnes nouvelles pour la nouvelle : avec La Rêveuse d'Ostende, Éric-Emmanuel Schmitt réinvente le genre »Valérie Gans McGarry, Madame Figaro.« À travers 5 histoires aussi percutantes que mystérieuses, Éric-Emmanuel Schmitt déploie son talent de romancier. Imagination et fantaisie toujours au rendez-vous. »Dominique Bona, Version Femina.
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Immense poème épique au creuset duquel se sont forgés l'imaginaire et la culture de l'Inde, le Mahabharata est à la démesure du sous-continent. Pour nombre d'Occidentaux, il s'agit d'une oeuvre inassimilable car trop complexe, trop foisonnante, trop étrange. C'est pourquoi la pièce montée par Peter Brook pour le festival d'Avignon de 1985 fut immédiatement perçue comme un événement majeur dans l'histoire contemporaine du théâtre.Le succès phénoménal que connut cette création devait beaucoup au texte de Jean-Claude Carrière. Avec une limpidité exemplaire, il nous fait revivre la lutte cosmique que se livrèrent les Kauravas et les Pandavas, impliquant les mondes des démons et des dieux, et nous fait pénétrer au coeur de la mythologie indienne. Depuis longtemps épuisé, ce classique contemporain de la scène est enfin rendu à son public.
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« Cherchez à qui le crime profite. Quand un roman commence par cette phrase, on s'attend à ce que ce soit un polar. On n'a pas tort, ce livre pourrait être un polar. Sauf qu'il n'y a pas de policier. Mais il y a un crime. Mobile : Pompéi. Arme du crime : Vésuve. Et le coupable ? Ce pourrait être le temps. À moins qu'il n'ait un alibi. » Avec Hygiène de l'assassin, Le Sabotage amoureux, Les Combustibles et Les Catilinaires, Amélie Nothomb, 29 ans, s'est imposée comme une romancière singulière, grand maître de l'ironie, de la joute verbale, de la cruauté et de l'absurde. Son Péplum est bien plus que la version policière d'une des plus grandes manipulations de l'histoire de l'humanité, plus qu'un récit d'aventures ou qu'un roman fantastique. ll conjugue tous ces genres, avec la virtuosité et le talent exceptionnel de cet écrivain surdoué qui a déjà conquis un public international.
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« Il n'y a pas d'échec amoureux. »
Tout est possible. Et, dans ce possible, on se laisse volontiers guider par une Amélie défoncée qui, jonglant avec ses figurines de lanterne magique, s’envoie joyeusement en l’air… Jean-Paul Enthoven, Le Point.
Le Voyage d’hiver, titre emprunté à Schubert, […] est une fantaisie originale dont l’étrange saveur ne se dissipe pas de sitôt. Delphine Peras, Lire.
Lumineux démiurge, Amélie Nothomb apporte un peu de légèreté dans un monde d’une terrifiante gravité. Son nouveau roman est épatant ! François Busnel, L’Express. -
« C'est une histoire d'amour dont les épisodes ont été mélangés par un fou. »
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L'un vers l'autre ; en voyage avec Victor Segalen
François Cheng
- Albin michel
- Littérature française
- 30 Mars 2009
- 9782226199508
Toute sa vie François Cheng a été habité par l'errance orientale de Victor Segalen (1878-1919), symétrique de son propre exil occidental. C'est même par le cycle chinois de l'oeuvre de Segalen, tout comme lui poète, romancier et critique d'art, que Cheng a d'abord visité de façon imaginaire une Chine qu'il avait quittée, et que Segalen, lui, avait été un des premiers à connaître dans toute sa profondeur continentale et sa diversité.François Cheng dit ici, en trois textes et un poème, l'intime proximité spirituelle qui le relie à Victor Segalen. Comme Segalen découvrant la Chine, François Cheng n'a que faire du tourisme culturel, la surface ne l'intéresse pas : il est allé voir « ailleurs » pour mieux voir au-dedans. Non pour se fuir mais pour se chercher. Les deux poètes « exotes », selon l'expression de Victor Segalen, nous invitent ainsi à une démarche d'élévation où chaque culture épouse l'autre dans sa meilleure part.
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Derniers fragments d'un long voyage
Christiane Singer
- Albin michel
- Littérature française
- 14 Janvier 2009
- 9782226197344
Le 1er septembre, un jeune médecin annonce à Christiane Singer qu'elle a encore six mois au plus devant elle. Le 1er mars, Christiane Singer clôt le carnet de bord de ce long voyage. « Le voyage - ce voyage-là du moins - est pour moi terminé. À partir de demain, mieux : à partir de cet instant, tout est neuf. Je poursuis mon chemin. Demain, comme tous les jours d'ici ou d'ailleurs, sur ce versant ou sur l'autre, est désormais mon jour de naissance. » « La démarche de Christiane Singer, son courage, sa générosité sont sublimes, elle le sait, le dit et c'est sans doute ce qui lui donne cette force magnifique. [...] D'un lyrisme dense et cru, elle réinvente ici la mort, en fait le visage même de la vie. » Fabienne Pascaud, Télérama. « Un testament spirituel de tout premier ordre. [...] Un hymne à la joie [...]. Un français étincelant, épuré jusqu'à l'os et pourtant baroque. » Astrid de Larminat, Le Figaro. « Un journal dans lequel la joie et l'espérance sont plus fortes que la mort. Par son écriture ardente et ses paroles toujours aimantes, Christiane Singer est parvenue à léguer un bel héritage spirituel, accessible à tous, au-delà des rites et des confessions. » Claire Lesegretain, La Croix. « C'est le livre d'un maître. Nul doute que ce livre changera notre regard sur la vie et la mort. » Marie de Hennezel, Psychologies Magazine. « Un livre bouleversant, impressionnant de force et d'abnégation, incroyablement lumineux. » Questions de femmes. « Une leçon de courage. Et de vie. » Isabelle Courty, Le Figaro Magazine. « Accompagnée des mystiques chrétiens, des maîtres de sagersse orientaux, musulmans et juifs [...], Christiane Singer témoigne, lumineusement, du passage d'une vie vers une autre. » Bruno de Cessole, Valeurs actuelles. « Si ce livre touche, c'est moins parce qu'il est parcouru par la douleur qu'en raison de l'incroyable (au sens premier) joie de vivre qui le sous-tend. » Pierre Maury, Le Soir.