Le quotidien d'un voyageur journaliste dans un pays qui s'ouvre au monde : le Japon du XIXe siècle.
Rudyard Kipling fait escale au Japon - à la fin du XIXe siècle - entre un long séjour professionnel en Inde et l'Amérique qu'il ne connait pas encore. Cette étape est une découverte surprenante et ses écrits par ces quelque onze lettres racontent avec malice son quotidien de voyageur journaliste dans un pays qui s'ouvre au monde. Voici des lettres que M. Rudyard Kipling écrivit du Japon pour le grand journal d'Allahabad, The Pioneer, en 1889.
"Malgré les progrès qu'a pu faire depuis quinze ans un peuple qui marche à pas de géant, j'ai cru qu'il serait d'un haut intérêt pour le public français, à l'heure où le monde a les yeux fixés sur ce peuple, d'apprendre à le connaître par un des plus puissants penseurs de notre époque, et surtout par un homme qui soumet son enthousiasme et son art au souci de l'exactitude et de l'impartialité." L. F.
Découvrez les lettres que M. Rudyard Kipling écrivit du Japon pour le grand journal d'Allahabad, The Pioneer, en 1889.
EXTRAIT
- Allons droit chez nous, en Angleterre, voir les fleurs paraître dans les parcs.
- Jouissons de ce qui est à portée de notre main, espèce de Philistin.
Et c'est ce que nous fîmes jusqu'au moment où un nuage assombrit et le vent fronça les biefs de la rivière, et où nous regagnâmes nos pousse-pousse avec un soupir de résignation.
- Combien de gens supposez-vous que le pays nourrit par kilomètre carré ? demanda le professeur à un tournant de la route, comme nous rentrions.
ll venait de lire des statistiques.
- Cinq cent cinquante, répondis-je au hasard. Il est plus fourni d'habitants que Sarun ou Behar. Disons six cents.
- Quinze cents, en chiffres ronds. Pouvez-vous le croire ?
- En regardant le paysage, oui; mais je ne pense pas que l'Inde le croira. Supposons que j'écrive mille ?
- Ils diront de même que vous exagérez. Il vaut mieux s'en tenir au vrai total. Quinze cents par kilomètre carré, et pas trace de pauvreté dans les maisons. Comment s'y prennent-ils ?
J'aimerais connaître la réponse à cette question. Le Japon, pour ce que j'en sais, est habité presque entièrement par de petits enfants dont le devoir est d'empêcher leurs aînés de devenir trop frivoles. Les bébés, à l'occasion, feront un peu de travail, mais leurs parents interviennent pour les caresser. À l'hôtel Yami, le service est dans les mains de personnages de dix ans, attendu que tout le monde est allé en pique-nique sous les cerisiers. Les petits drôles trouvent le temps de faire le travail d'un homme et de lutter, dans l'intervalle, sur l'escalier. Mon serviteur attitré, appelé l'Évêque en raison de la gravité de son aspect, de son tablier bleu et de ses guêtres, est le plus dégourdi du lot, mais son énergie même ne saurait expliquer les statistiques du professeur au regard de la population...
Ce qu'a accompli Stromae depuis 2010 est historique : aucun artiste chantant en français n'a rassemblé autant de fans à travers le monde depuis plus de vingt ans. Quelles sont les clés de cet incroyable succès ? Comment ce Bruxellois est-il devenu la star internationale que nous connaissons aujourd'hui ? Comment s'est-il démarqué de ses contemporains pour créer le style Stromae ?
Ceci n'est pas une biographie ! Thierry Coljon, journaliste musical spécialiste de l'artiste, analyse le phénomène Stromae et replace ce personnage discret dans son contexte. Plongeant dans ses textes et dans nombre de témoignages, anecdotes et interviews, il retrace l'incroyable parcours de Stromae, de la Belgique aux Etats-Unis. Se penchant sur ce qui fait de Paul Van Haver un artiste unique et novateur, l'auteur met en lumière les rouages d'un succès hallucinant.
Plongez dans l'univers du maestro et laissez-vous guider dans les coulisses de son succès !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Thierry Coljon est LE spécialiste de Stromae. Journaliste depuis une quarantaine d'années pour le quotidien belge Le Soir, il y est responsable de la rubrique « musiques non classiques ». Il a également publié une vingtaine d'ouvrages : des romans, mais aussi des biographies d'artistes tels qu'Adamo, Pierre Rapsat, Sttellla, Maurane ou Carla Bruni, ainsi que des anthologies de musique belge.
Une édition de référence de J'accuse d'Émile Zola, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Voilà donc, monsieur le Président, les faits qui expliquent comment une erreur judiciaire a pu être commise ; et les preuves morales, la situation de fortune de Dreyfus, l'absence de motifs, son continuel cri d'innocence, achèvent de le montrer comme une victime des extraordinaires imaginations du commandant du Paty de Clam, du milieu clérical où il se trouvait, de la chasse aux « sales juifs », qui déshonore notre époque. » (Extrait de J'accuse.)
Jamais, quand c'est la vie elle-même qui s'en va, on n'a autant parlé de civilisation et de culture. Et il y a un étrange parallélisme entre cet effondrement généralisé de la vie qui est à la base de la démoralisation actuelle et le souci d'une culture qui n'a jamais coïncidé avec la vie, et qui est faite pour régenter la vie.
Avant d'en revenir à la culture je considère que le monde a faim, et qu'il ne se soucie pas de la culture : et que c'est artificiellement que l'on veut ramener vers la culture des pensées qui ne sont tournées que vers la faim.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Antonin Artaud, né le 4 septembre 1896 à Marseille et mort le 4 mars 1948 à Ivry-sur-Seine, est un théoricien du théâtre, acteur, écrivain, essayiste, dessinateur et poète français.
La poésie, la mise en scène, la drogue, les pèlerinages, le dessin et la radio, chacune de ces activités a été un outil entre ses mains, « un moyen pour atteindre un peu de la réalité qui le fuit ».
Toute sa vie, il a lutté contre des douleurs physiques, diagnostiquées comme issues de syphilis héréditaire, avec des médicaments, des drogues. Cette omniprésence de la douleur influe sur ses relations comme sur sa création. Il subit aussi des séries d'électrochocs lors d'internements successifs, et il passe les dernières années de sa vie dans des hôpitaux psychiatriques, notamment celui de Rodez. Si ses déséquilibres mentaux ont rendu ses relations humaines difficiles, ils ont aussi contribué à alimenter sa création. Il y a d'un côté ses textes « fous de Rodez et de la fin de sa vie », de l'autre, selon Évelyne Grossmann, les textes fulgurants de ses débuts.
De la rencontre entre Alain Berthoz, neuroscientifique, et la peintre Fabienne Verdier est né un dialogue original entre l'art et la science. Les tableaux de l'artiste résonnent avec les recherches du savant sur le mouvement et les géométries du cerveau. Richement illustré, ce livre documente l'expérience concrète, par Alain Berthoz, de l'acte de peindre avec les pinceaux suspendus, dans l'atelier de l'artiste. Ensemble, ils réalisent les tableaux Ressac et Soleil noir. Le temps d'une séance de peinture, avec la participation de Daniel Bennequin, mathématicien, et de Valérie Hayaert, historienne de l'art, ce livre retranscrit une conversation unique en son genre sur la création artistique, le corps en mouvement et la cognition. « Les artistes nous révèlent bien des propriétés du monde, de notre cerveau et de notre corps. » A. B. Alain Berthoz, neurophysiologiste, est professeur honoraire au Collège de France, membre de l'Académie des sciences et de l'Académie des technologies. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Le Sens du mouvement, La Décision, La Simplexité, La Vicariance et L'Inhibition créatrice, qui ont été de grands succès. Fabienne Verdier est artiste peintre et ses oeuvres ont été exposées dans de nombreux musées européens (musée Groeninge de Bruges, Pinakothek der Moderne de Munich, musée Granet d'Aix-en-Provence, musée Unterlinden de Colmar...).
Raconter une histoire ne s’improvise pas. La narration est un artisanat qui, avant de pouvoir prétendre à l’art, exige le respect de règles que John Truby a rassemblées dans cette Anatomie du scénario.
Sa méthode unique nous fait entrer dans les secrets de fabrication de ce qui constitue la condition première de la réussite d’un film – une bonne histoire – et nous guide pas à pas dans la construction des personnages, de l’intrigue, de l’univers du récit, des dialogues, en détaillant les vingt-deux étapes incontournables dans l’écriture d’un scénario réussi.
Dans cette nouvelle édition, augmentée de questions/réponses tirées de ses master-class avec ses étudiants français, et toujours plus tournée vers la pratique, vous apprendrez comment résoudre les problèmes spécifiques du scénariste, qu’il écrive pour le cinéma ou la télévision, à partir d’exemples analysés en profondeur, allant des plus classiques (Casablanca, La vie est belle, Le Parrain) aux plus récents (Un prophète, L’Arnacœur, Breaking Bad ou Star Wars).
L’espace et le temps de l’histoireLa prémisseLes sept étapes clefs de la structure narrativeLes personnagesLe débat moralL’univers du récit Le réseau de symbolesL’intrigueLe tissage des scènesConstruction des scènes et dialogues symphoniquesL’histoire sans fin
Durée : 20H57
© 2008 by John Truby © Éditions Michel Lafon, 2016 © et (P) Audiolib, 2022
« Se raconter est une drôle d’affaire. Dans un projet comme celui-ci, l’auteur fait une promesse : laisser le lecteur entrer dans sa tête. C’est ce que j’ai essayé de faire au fil de ces pages. » BRUCE SPRINGSTEEN, dans les pages de Born to Run
Au cours des sept années écoulées, Bruce Springsteen s’est, en secret, consacré à l’écriture de l’histoire de sa vie, apportant à ces pages l’honnêteté, l’humour et l’originalité qu’on retrouve dans ses chansons. Il décrit son enfance, dans l’atmosphère catholique de Freehold, New Jersey, la poésie, le danger et les forces sombres qui alimentaient son imagination, jusqu’au moment qu’il appelle le Big Bang : la première fois qu’Elvis Presley passe à la télévision. Il raconte d’une manière saisissante l’énergie implacable qu’il a déployée pour devenir musicien, ses débuts dans des groupes de bar à Asbury Park et la naissance du E Street Band. Avec une sincérité désarmante, il raconte aussi pour la première fois les luttes personnelles qui ont inspiré le meilleur de son œuvre et nous montre que la chanson Born to Run révèle bien plus que ce qu’on croyait. Born to Run sera une révélation pour quiconque apprécie Bruce Springsteen, mais c’est bien plus que le témoignage d’une rock star légendaire. C’est un livre pour les travailleurs et les rêveurs, les parents et les enfants, les amoureux et les solitaires, les artistes, les dingues et quiconque ayant un jour voulu être baptisé dans les eaux bénies du rock’n’roll.
Durée : 19H21
©Traduction française : Albin Michel, 2016. © Bruce Springsteen, 2016, Simon & Schuster, États-Unis © et (P) Audiolib, 2017
Entre 2001 et 2003, les trois tomes prétendument inadaptables du Seigneur des anneaux, écrits près de cinquante ans plus tôt par J. R. R. Tolkien, se sont métamorphosés en une trilogie de films d'une envergure inégalée au sein du panorama cinématographique mondial. Entre les irremplaçables mots de Tolkien et les folles images de Peter Jackson, La Communauté de l'anneau, Les Deux Tours et Le Retour du roi ont marqué par deux fois l'histoire de la fantasy et continuent de susciter les plus vives passions envers les récits émanant de la Terre du Milieu.
Des tranchées de la Somme aux plateaux de Stone Street à Wellington, en passant par les salles de classe d'Oxford et de Birmingham, les mythiques studios d'enregistrement d'Abbey Road ou encore les collines de Matamata en Nouvelle-Zélande, le journaliste spécialisé Vivien Lejeune retrace l'histoire de l'oeuvre et de ses créateurs au fil des décennies, pour mieux en comprendre ses origines et toute l'étendue de sa portée contemporaine.
L'oeuvre de Pascal Quignard est multiple par la diversité des domaines artistiques dans lesquels il excelle ; musique, dessin, cinéma, littérature... Le Cahier de L'Herne se propose d'explorer ces différentes facettes en retraçant l'itinéraire artistique de Pascal Quignard ; son parcours de musicien et ses nombreuses créations originales, ses collaborations avec compositeurs, scénaristes, musiciens et metteurs en scène dans le cadre de performances artistiques, son oeuvre littéraire tout à fait inclassable, qui oscille entre roman, essais philosophique, autobiographie, écrits historiques, poésie... Nous dévoilons par ailleurs dans ce volume, le manuscrit inédit du Petit Cupidon, plusieurs textes inédits et de nombreux dessins en couleur de Pascal Quignard.
Pascal ? « Il greffe sur l'augustinisme la doctrine de la raison d'État et parvient ainsi au paradoxe de la force pure et mauvaise à laquelle il faut docilement obéir. » La tragédie classique ? « C'est l'expression la plus parfaite de la déchristianisation ; elle crée un monde nouveau de la vie sublime, indépendant de toute pensée chrétienne. » Descartes ? « Il construit la sphère de la liberté humaine non pas en Dieu mais contre Dieu. » Molière ? Il met en scène l'« honnête homme » et son nouveau statut.
Sécularisation, recherche d'une morale autonome, loin des préceptes de la religion : tel est le mouvement qu'Auerbach repère tout au long du XVIIe siècle français, à la fois du côté des productions intellectuelles et du côté des comportements sociaux. Il décrit les lieux de la vie artistique où se mêlent et s'affrontent, à Paris, les classes sociales ; il étudie les origines familiales des élites intellectuelles, analyse les mutations du parterre au théâtre et le glissement progressif de la bourgeoisie productive vers les conforts de la rente.
Qu'il réfléchisse sur « la théorie politique de Pascal », sur « la cour et la ville », sur le « sourire hospitalier » de La Fontaine ou sur l'évolution sémantique du mot « passion », l'auteur de Mimésis déploie comme à l'accoutumée, dans ces essais, une érudition prodigieuse, en même temps qu'il révèle un XVIIe siècle tout tendu vers de nouvelles raisons d'être.
Entre roman noir et enquête, une oeuvre fièvreuse dans le Hollywood de 70s !
Chinatown est le Graal du cinéma des années 1970. Sa fin surprenante est la plus célèbre de tout le cinéma américain, et sa dernière réplique, la plus obsédante. Ce livre révèle, pour la première fois, l'incroyable genèse de ce projet.
Sam Wasson nous conte cette histoire mettant en scène des personnages hauts en couleurs, sur fond de mutation spectaculaire des studios hollywoodiens. Il y a Jack Nicholson, alors au sommet de sa carrière, star parmi les stars, au seuil de sa grande histoire d'amour vouée à l'échec avec Anjelica Huston. Roman Polanski, le réalisateur du film, à la fois prédateur et proie, hanté par la mort tragique de son épouse, qui revient à Los Angeles, le lieu du crime, où les graines de sa propre destruction sont rapidement plantées. Le grand producteur Robert Evans, le « Kid », exalté à l'idée de passer des contrats. Enfin, il y a Robert Towne, auteur du fabuleux scénario du film, considéré par beaucoup comme le meilleur jamais écrit. Pour la première fois, Sam Wasson dissipe les mythes liés à Chinatown et décrit la façon dont le film est réellement né.
En toile de fond, la fin d'une époque : celle des années 1970, où les studios choyaient leurs créateurs. Elle cèdera la place à un Hollywood plus brutalement industriel, comme aujourd'hui. The Big Goodbye mérite sa place à côté d'autres grands livres sur le monde du cinéma, comme Le Nouvel Hollywood.
« Sharon Tate ressemblait à la Californie. » C'est la première phrase. Sam Wasson écrit comme un romancier. Et enquête comme un journaliste. C'est ce qui fait le prix de cet ouvrage. - Le Figaro
À PROPOS DE L'AUTEUR
Sam Wasson vit à Los Angeles et est diplômé de cinéma de l'Université de Wesleyan et de l'USC School of Cinematic Arts. Il décrit dans ses romans les différentes facettes du cinéma et partage sa passion du septième art dans de grands magazines américains comme Variety, The New York Times ou le Wall Street Journal. Son excellent livre 5e Avenue, 5 heures du matin a été élu meilleur livre de l'année 2012 par le New York Times.
Si The Wire est unanimement reconnue comme une série majeure, régulièrement placée sur le podium des meilleures séries par de nombreux médias, l'oeuvre de son auteur, David Simon, se révèle bien plus étendue. De The Corner à We Own This City, en passant par Treme et The Deuce, il n'a eu de cesse d'interroger l'Amérique moderne dans toutes ses contradictions sociales et politiques. Avec Les Deux Amériques de David Simon. De The Wire à We Own This City, l'auteur Julien Goyon vise à lever le voile sur les nombreux sujets abordés dans ces séries, dont la résonance s'avère plus que jamais d'actualité : injustices sociales, racisme, défaillances institutionnelles, etc. Ce livre se présente comme le compagnon de voyage idéal pour explorer ces univers riches, durs et exigeants, mais jamais dépourvus d'humour ou de foi dans le genre humain.
Grâce à ce bestseller mondial, apprenez à dessiner en exploitant votre hémisphère droit !
Que vous pensiez n'avoir guère de talent, que vous soyez un artiste professionnel ou que le dessin soit pour vous un simple hobby, ce livre vous fera prendre confiance en vos capacités et approfondira votre perception artistique, de même qu'il vous encouragera à développer une nouvelle appréhension du monde qui vous entoure.
Dans cet ouvrage de référence, Betty Edwards vous offre la clé pour maîtriser l'art du dessin en vous faisant découvrir les cinq compétences fondamentales de cet art : la perception des contours, des espaces, des relations, de la lumière et des ombres, et du tout (gestalt).
Cette nouvelle édition comprend :
- une nouvelle introduction ;
- des mises à jour tirées des études récentes sur la plasticité du cerveau et sur l'avantage de l'acquisition de nouvelles compétences en utilisant l'hémisphère droit (visuel et intuitif) du cerveau ;
- un nouvel accent sur le rôle de l'apprentissage du dessin grâce aux fonctions du cerveau droit - en réponse au culte grandissant porté à l'hémisphère gauche (analytique et verbal) dans notre société ;
- de nouvelles reproductions d'oeuvres maîtresses. Passez à la pratique grâce au livre d'exercice Dessiner grâce au cerveau droit, complément indispensable au livre de référence de Betty Edwards.
Que vous soyez artistes professionnels ou amateurs, cet ouvrage de référence vous permettra de perfectionner vos compétences artistiques !
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
"Le livre Dessiner grâce au cerveau droit vous apprendra à voir les choses autrement. À comprendre les formes. À développer votre esprit d'analyse. À comprendre les espaces, les lignes directrices [...]. Devenir attentifs au monde. Voir de la beauté dans des choses simples." - Dédé dans son Jardin
"Pour ceux qui n'auraient pas encore lu le livre Dessiner grâce au cerveau droit, faites l'acquisition de la nouvelle édition de ce livre indispensable qui vous ouvrira grandes les portes du dessin par une méthode intuitive exploitant, comme le titre l'indique, le potentiel de votre cerveau droit. Plus qu'un livre à lire, une expérience à vivre." - Créa-france
"Un ouvrage à recommander sans réserve aux amateurs ou aux professionnels qui souhaitent maîtriser le dessin d'observation et aux professeurs qui veulent disposer d'une méthode logique et efficace pour enseigner la manière de « voir juste »." - Blog Mon Louvre
"Cette brillante approche de l'enseignement du dessin n'est pas qu'un simple manuel : elle est un guide d'émancipation et d'épanouissement personnel." - Los Angeles Times
"Cet ouvrage innovant et emblématique devrait figurer parmi les lectures obligatoires de tous les étudiants en art." - American Artist
À PROPOS DE L'AUTEUR
Betty Edwards est enseignante, conférencière et praticienne de la formation en entreprise. Aujourd'hui à la retraite, elle a exercé comme professeure d'art à l'Université d'État de Californie à Long Beach, après avoir obtenu son doctorat en art, éducation et psychologie de la perception à l'UCLA (Université de Californie, Los Angeles).
La musique sculpte et caresse notre cerveau. Dès la petite enfance, elle contribue au bon développement de la motricité et de la coordination, ainsi qu'à l'apprentissage du langage. Plus tard, elle favorise la mémoire, l'attention, mais aussi la confiance en soi et la vie sociale. L'écoute ou la pratique régulière de la musique peut même soulager les adolescents de certains dysfonctionnements dans les apprentissages ou de leur hyperactivité. Et ce qui est scientifiquement établi pour les vingt premières années de la vie demeure également vrai pour les adultes : la musique continue de faire du bien à notre cerveau et de nous aider à penser, même quand les enfants que nous avons été sont devenus grands ou plus âgés?! De Mozart aux Beatles en passant par Freddie Mercury et Billie Eilish, comment la musique modèle, renforce ou répare notre cerveau, preuves à l'appui. Une aide précieuse pour tous les parents soucieux du bon développement et de l'épanouissement de leurs enfants, petits ou moins petits, sur les plans moteur, cognitif et social. Pierre Lemarquis est neurologue et neurophysiologiste. Membre de la Société française de neurologie, de la Société de neurophysiologie clinique de langue française et de l'Académie des sciences de New York, il s'emploie depuis plus de trente ans à préciser les relations entre cerveau et musique. Il a notamment publié Sérénade pour un cerveau musicien et Portrait du cerveau en artiste, qui ont été de grands succès.
Pour la première fois, une encyclopédie de l'enseignement de l'Architecture en France présente de manière détaillée et précise l'ensemble des écoles la composant.
Vous pensez que vous ne savez pas dessiner ? Laissez Betty Edwards vous prouver le contraire !
Grâce à sa méthode, qui a déjà convaincu plus de 3 millions de lecteurs dans le monde, vous apprendrez rapidement et efficacement à dessiner. Avec Dessiner avec l'oeil dominant, l'auteure complète son précédent ouvrage Dessiner grâce au cerveau droit et permet à tout dessinateur novice de repousser les limites de sa créativité.
Dans ce nouvel ouvrage de référence, Betty Edwards révèle l'influence de la dominance oculaire sur les capacités de perception et de création. Toujours au moyen de nombreuses illustrations et d'exercices pratiques variés, elle offre un véritable guide et invite chaque dessinateur en herbe à poser un regard plus éveillé sur son processus créatif. Une fois que vous aurez cerné la différence entre votre oeil dominant et son pendant dominé, l'art du dessin n'aura plus de secret pour vous !
Apprenez à mieux voir pour mieux dessiner !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Betty Edwards est une enseignante et conférencière renommée, docteure en art, éducation et psychologie de la perception. Après avoir exercé comme professeure d'art à l'Université d'État de Californie à Long Beach, elle est aujourd'hui à la retraite mais anime encore régulièrement des conférences et des formations au sein des universités, des écoles d'art et des entreprises.
Jurassic Park est indéniablement un mythe. Près de trente ans après sa sortie, le film de Steven Spielberg continue d'alimenter les passions. Véritable jalon historique dans la grande histoire du cinéma, il incarne l'émergence des effets spéciaux numériques. Il a été source de vocation pour de nombreux paléontologues. Jurassic Park symbolise aussi les dérives du scientisme. Et si ses suites ont moins convaincu, les Jurassic World font néanmoins partie des plus gros succès de l'histoire du cinéma, ils interrogent notre rapport aux fictions et notre envie de voir perdurer une franchise qui nous tient à coeur. Dans Bienvenue à Jurassic Park. La science du cinéma, Nicolas Deneschau, coauteur de l'essai acclamé L'Apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres, plonge au coeur des coulisses des films, il revient aux sources des romans de l'auteur originel, Michael Crichton, et ouvre de nombreuses pistes d'analyse et de réflexion autour de cette oeuvre dont la grandeur n'a pas fini de fasciner et d'émerveiller.
Des années 1980 à nos jours, le paysage culturel et musical français a connu des métamorphoses puissantes, entre audace artistique et volonté politique. C'est de cette période passionnante et passionnée que Laurent Bayle témoigne dans ce livre éclairant. Son parcours singulier, qui l'a mené à créer et à diriger la Philharmonie de Paris, est celui d'un engagement de plus de quarante ans au service de la musique. Il raconte ici un foisonnement artistique où sont à l'oeuvre des personnages exceptionnels, dont il livre des portraits sensibles?: de Pierre Boulez à Patti Smith, de Daniel Barenboim à Jean Nouvel, c'est le récit personnel d'un homme qui a bâti, avec d'autres, une certaine vision de la culture. De ce témoignage fort, on ressort convaincu de ceci?: la création et la transmission artistiques sont des moteurs nécessaires pour rénover la société en aidant chacun à construire son identité en même temps qu'un récit collectif. Laurent Bayle a fondé la Philharmonie de Paris, dont il a été le directeur général jusqu'en 2021. Il a dirigé plusieurs autres structures musicales de référence?: la Cité de la musique, la salle Pleyel, l'Ircam et le festival Musica de Strasbourg, qu'il a créé.
Charlotte Perriand fait partie de ces créateurs qui ont marqué le XXe siècle. Luttant farouchement dès 1927 contre les Arts décoratifs, elle a été avec Le Corbusier le précurseur de l'architecture d'intérieur. Nous lui devons une nouvelle approche de l'art d'habiter, ouverte, faite de jeux et de flexibilité, toujours en rapport harmonieux avec l'homme et son milieu. Liée aux mouvements d'avant-garde des années 1930, à Fernand Léger et à Jean Prouvé, mais surtout célèbre pour sa collaboration avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, elle a signé avec eux une série de meubles révolutionnaires qui sont devenus de grands classiques. Animée par une insatiable curiosité, elle a voyagé à travers d'autres cultures (Japon, Indochine, Brésil) qui ont influencé son oeuvre, notamment le très zen « Espace Thé » de l'Unesco (1993). Dans cette autobiographie, elle nous fait partager le destin d'une femme hors du commun qui a toujours su concilier une extraordinaire exigence de rigueur avec un amour de la vie, de la nature et de la liberté.
Écoutez ! Dans ce nouveau livre, Peter Brook, dramaturge et metteur en scène de renommée mondiale, livre un ensemble de réflexions très personnelles sur le son et la musique - de l'influence surprenante qu'ont eue les spectacles de Broadway sur son célèbre Songe d'une nuit d'été à l'attrait des applaudissements, jusqu'à cet espace ultime de vide qu'est le silence. Le livre est parsemé d'anecdotes sur la vie de l'auteur et de souvenirs de ses réalisations à l'opéra, au théâtre et au cinéma. Peter Brook parle de ses productions les plus remarquables et de ses rapports avec des personnalités comme Truman Capote, Laurence Olivier et Vivien Leigh, avec lesquelles il a travaillé. Il évoque aussi des styles musicaux et des cultures du monde entier. À l'écoute déploie tout le talent et l'acuité de Brook, avec l'esprit et la finesse d'analyse qu'on lui connaît. On y retrouve la veine de ses écrits précédents, sur Shakespeare, et aussi sur le langage et le sens dans Du bout des lèvres. Peter Brook est l'un des plus grands dramaturges contemporains. De la Royal Shakespeare Company au théâtre des Bouffes du Nord, ses productions, comme Timon d'Athènes, Mesure pour mesure, La Conférence des oiseaux, ont marqué l'histoire du théâtre. Il a également mis en scène des opéras et réalisé des films, dont Moderato cantabile, Le Roi Lear et Le Mahabharata en collaboration avec Jean-Claude Carrière. Aux éditions Odile Jacob, il a publié Du bout des lèvres. Jean-Claude Carrière est scénariste, dramaturge, écrivain, auteur de grands succès comme Einstein, s'il vous plaît, Fragilité, Tous en scène et, plus récemment, Croyance, La Paix, Ateliers.
Roman Rolland, prix Nobel de littérature, retrace ici la vie du célèbre compositeur Beethoven.
Comment le cinéma de Quentin Tarantino a-t-il évolué de films nerveux et provocateurs à un cinéma plus posé et réfléchi?
Qu'on l'adore ou qu'on le déteste, le cinéma de Quentin Tarantino ne laisse pas indifférent. Depuis la sortie de Reservoir Dogs, les critiques n'ont eu de cesse de fustiger certains aspects de ses films, tels que les dialogues à rallonge et les hectolitres de sang déversés à l'écran. Pourtant, derrière ces éléments si caractéristiques se terre avant tout la passion intense de Tarantino pour le septième art. Dans cet ouvrage unique, le docteur en études culturelles Guillaume Labrude rend hommage au réalisateur en revenant sur sa carrière et en décryptant ses longs-métrages par le biais de leur scénario, leur esthétique et leurs multiples références. Qu'il s'agisse de la violence, du rôle des personnages féminins ou, tout simplement, de la grande histoire du cinéma, tous les thèmes chers au cinéaste sont ici analysés en profondeur.
Retrouvez dans cet ouvrage le plaisir de l'analyse des thèmes chers à Tarantino, de sa fascination pour les gangsters, en passant par les dialogues absurdes et passionnés sur la nourriture, aux multiples chorégraphies de la violence.
Le propos de ce livre repose sur une conviction, qui vaut comme méthode lorsqu'il s'agit d'aborder la critique d'art de Baudelaire : on ne peut penser la bonne peinture qu'au miroir de la mauvaise. On ne comprend pas complètement la valeur propre qu'une oeuvre réussie prend aux yeux du poète si l'on ne possède pas de contre-exemple auquel l'adosser ou la confronter. Ce qui est moqué, ce qui est tourné en dérision, tout ce qui se trouve relégué dans ce que Baudelaire nomme « l'hôpital de la peinture » offre une diversité lexicale bien plus riche que l'appréciation, si complexe fût-elle, d'un idéal propre au critique.
Chaque caractère d'imprimerie, au-delà de sa forme, possède son propre passé, véhicule un bagage culturel, historique et social, crée par sa seule présence sur une page, au-delà du sens des mots écrits, une véritable ambiance. De ce fait, il influe directement sur l'interprétation du texte et implique de la part du maquettiste ou du graphiste une bonne connaissance des caractères d'imprimerie et de ce que leur choix implique.
Ce livre a pour but de vous donner toutes les clés qui vous permettront d'effectuer le bon choix typographique en fonction d'un travail donné, et d'effectuer une mise en pages pertinente et esthétique. C'est au total une soixantaine de typographies qui sont présentées au fil de ces pages ; chaque police de caractères est disséquée, son créateur est présenté, le contexte social est évoqué, et toutes les connotations impliquées par son utilisation sont mises en avant. On trouvera également un tableau synthétique en fin d'ouvrage, à base de mots-clés, qui permettra de trouver simplement et rapidement une ou plusieurs typographies possibles. Enfin, une dizaine de personnalités du monde de la typographie ou de l'édition, parmi lesquelles Erik Spiekermann, Xavier Dupré, Alejandro Paul, Alain Beaulet ou Bas Jacobs ont participe à cet ouvrage en répondant à une question difficile : « Quel est votre caractère préféré ? »
Il est donc possible de lire ce livre de plusieurs manières : soit en cherchant rapidement la solution à une problématique professionnelle, soit en le lisant du début à la fin, en amateur désireux d'en connaître un peu plus sur ces lettres qu'on lit sans les voir, sur ces alphabets qui nous sont familiers à force de les rencontrer dans la rue, dans les journaux, sur les publicités, ces amis intimes à propos desquels on ne sait finalement pas grand-chose.
Cette nouvelle édition, qui fait suite au succès du premier tirage, a été entièrement revue et augmentée d'une cinquantaine de pages, avec de nouveaux caractères et les contributions exclusives de Jim Parkinson, Nick Shinn, Étienne Robial, Jean-Christophe Menu et Bruno Leandri.
En cours de traduction en italien chez Ronzani editore.