« Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. » (Victor Hugo)
Nous sommes le 22 février 2021. Ma Maman n'ouvrira plus les yeux. Les miens ne verront plus le monde de la même façon. Son coeur s'est arrêté. Le mien ne sera plus jamais léger.
À quoi allait ressembler ce monde sans elle ? Comment allais-je faire pour y vivre et non pas seulement y survivre ? C'est en écrivant ce que je ressentais, au jour le jour, que je me suis souvenue des jours heureux, de ces moments de bien-être, de partage, de transmission et surtout de son sourire. Ma Maman n'était plus présente à côté de moi, mais elle était partout en moi. Au fil du temps, cette tristesse insoutenable s'est transformée en un bonheur d'être en vie, malgré tout.
Un livre poignant, à la narration sobre, qui suscite l'émotion la plus vive tout en délivrant une précieuse leçon de vie. Un véritable hommage d'une fille à sa mère.
Un dimanche soir comme tant d'autres, Aristide Pélochon, dit Péloche, est interrompu devant son journal télévisé par des coups de sonnette affolés. Son voisin, M. Hyng, lui annonce qu'il a découvert le corps d'une femme dans son placard avec un coutelas dans le dos. Accoutumé aux élucubrations sans queue ni tête de cet excentrique, Péloche lui donne des conseils pour s'en débarrasser, dans l'espoir qu'il le laisse tranquille.
Aussi, qu'elle n'est pas sa surprise d'apprendre le lendemain qu'un corps a été retrouvé dans la décharge d'à-côté ! Alors que le voisin a disparu, Péloche décide d'aller à la pêche aux informations pour en savoir plus sur ce crime. Entre le tavernier Momo et ses habitués, la bourgeoise toujours derrière son judas, la commère richissime du dernier étage et son meilleur ami cocu du premier, quelqu'un doit bien savoir quelque chose...
Au sein d'une vie de quartier parisien mouvementée, Péloche nous entraîne dans une enquête quelque peu déjantée pour démasquer l'assassin !